«Être chat de psychanalyste n'est pas une mince affaire : accueillir les patients quand ils sonnent à la porte, les accompagner dans la salle d'attente si je le juge nécessaire, me frotter contre le bas du pantalon de certains dont l'angoisse est un appel à l'aide, me laisser caresser, ronronner parfois, et même aller jusqu'à les raccompagner en bas de l'escalier...»